Une journée avec Christelle.

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 10 ans

12 h, place de la Bastille à l’angle de la rue de la roquette. Je suis au rendez-vous prévu. Cette fois-ci Christelle a exigé que je l’attende avec un paquet de couche à la main. Je suis extrêmement gêné car il y a énormément de passants, mais aussi beaucoup de consommateurs assis aux terrasses des cafés. Il est impossible que mon paquet de couche passe inaperçu. D’ailleurs je remarque plusieurs personnes qui me regardent, certaine me montre du doigt et malgré leur discrétion je les vois quand même. Mais qu’est ce que Christelle fait ? J’espère qu’elle va bientôt arriver.

En fin je la vois, elle arrive face à moi. Elle est au téléphone, s’arrête face à moi, et continue sa conversation. Alors que je souhaite qu’une seule chose, nous mettre en route le plus vite possible, Christelle continue sa conversation en prenant son temps. Je m’impatiente, elle le remarque, mais continue à prendre son temps ; Enfin elle raccroche.

  • Alors mon bébé on s’impatiente ? me dit-elle d’un ton autoritaire

  • euh..

  • Mais ne sois pas si nerveux !

Elle attrape le paquet de couche le regarde.

  • C’est bien, je vois que tu as pensé à acheter tes couches.

Bien évidemment, je me doute que les passants entendent.

  • Bon allez on y vas.

Je la suis sans rien dire. Nous nous dirigeons vers un restaurant japonais.

  • Tu aimes le japonais ?

  • Oui j’aime bien

Nous nous arrêtons devant l’entrée du restaurant pour finir de fumer nos cigarettes

  • Tu as l’air gêné, que t’arrive-t-il, me demande Christelle?

  • Non, non rien

  • C’est ton paquet de couche qui te gêne ?

  • Bah ce n’est pas très discret

  • Ecoute, quand on est encore un bébé à ton âge, on assume. Au fait tu as une couche sur toi ?

Alors que je m’apprêtais à répondre Christelle soulève le bas de mon pull pour vérifier. Ayant pris soin de bien dissimuler mon lange, Christelle ne voit rien. D’un mouvement elle me fait tourner sur moi-même, tire soulève mon manteau et caresse mes fesses en les pressant légèrement. Ensuite elle tire un peu sur la ceinture de mon pantalon, glisse ses doigts et tire sur ma culotte plastique pour la faire largement ressortir.

  • Oh mais bébé est langé, il a mis une grosse coucouche pour voir sa nounou.

Tout se passe tellement vite, que je n’ai même pas le temps de réagir, par contre je regarde très vite autour de nous pour savoir si quelqu’un nous regarde. Pendant ce temps Christelle continue à tirer sur ma culotte plastique, je sens qu’elle glisse le bas de mon pull dans la culotte.

  • Voilà qui est mieux, me dit elle.

Christelle m’attrape la main et m’entraîne dans le restaurant qui est malheureusement bondé. Nous sommes accueillis et placé à une table de 4 personnes dans un angle du restaurant. Christelle s’assoie. Pendant ce temps je m’empresse de placer le paquet de couches sous la table puis je me tourne pour placer mon manteau sur le dos de la chaise ; Alors que je m’assoie enfin je vois le paquet de couche poser sur la table bien en évidence. Christelle l’a pris du dessous de la table pour le poser en évidence à la vue de tous. Je tends la main pour au moins le coucher, mais Christelle arrête mon mouvement.

  • Tu laisses ton paquet de couche comme il est ! Si tu y touches je te promets que tu le regretteras. Passe-moi ton manteau que je le mette à côté de moi.

Je la regarde sans rien dire. Je sais que si je lui donne mon blouson, ma culotte plastique sera nettement visible dans mon dos. Christelle attrape alors mon manteau pour le poser à côté d’elle. Pendant qu’elle s’exécute je regarde autour de moi, mais personne ne semble avoir remarqué quoi que ce soit.

Christelle commence, ensuite, à m’expliquer les différents plats. De mon côté je ne peux me concentrer sur ses paroles, je ne pense qu’au paquet de couche bien visible sur la table et à ma culotte plastique qui dépasse de mon pantalon.

  • Ecoute Christelle, c’est gênant. Et si passe quelqu’un que je connais.

  • Tu lui diras que c’est pour ta grand-mère.

  • Mais ma culotte on peut la voir.

  • Oh écoute, tu arrêtes. Quand on est un bébé on assume.

Le serveur arrive, il remarque les couches mais ne dit rien. Nous commandons.

  • Ne t’inquiète pas, me dit-elle à voix basse, jamais le serveur ne supposera que c’est pour toi, ni même les personnes qui dînent ici.D’ailleurs c’est dommage, rajoute-t-elle d’un ton ironique.

Nous mangeons et la conversation quitte le sujet des couches pour aborder d’autres sujets. J’arrive plus ou moins à oublier ma gêne. Nous passons un excellent moment.

En milieu de repas le serveur arrive accompagné d’un couple. Immédiatement je comprends qu’il souhaite placer ces personnes à notre table. J’attrape le paquet de couche posé sur la table juxtaposée à la nôtre, paquet que les nouveaux arrivants n’ont pas manqué de remarquer. Le serveur pousse un peu la table. Le couple s’installe et nous reprenons notre repas et notre conversation.

Tout d’un coup Christelle change de sujet et dis d’une vois un peu forte :

  • Au fait, tu as mouillé ta couche ?

Je manque de m’étrangler. Je jette un coup d’œil en direction du couple et je remarque un coup de l’œil de la femme. Elle a entendu c’est sur.

  • Alors, tu as mouillé ta couche ou pas ?

  • Non, répondis-je à vois basse

  • C’est vrai ou tu me racontes des histoires

  • Non c’est vrai

  • Tu es sûr ? Sinon il y a un espace nurserie ici, et s’il faut te changer j’aime mieux le faire avant que nous partions d’ici.

  • C’est bon !

  • Oh ne soit pas si agressif, je n’y suis pour rien si tu portes encore des couches à ton âge. Comme je te l’ai déjà dit, quand on est un grand bébé il faut assumer.

Le couple commence à parler à voix basse. Je suis persuadé qu’ils parlent de nous. Heureusement le repas prend fin, nous réglons l’addition et nous nous levons pour partir. En passant près de la table du couple j’entends la femme dire à son mari : "Tu crois vraiment qu’il porte des couches" ?

Je m’empresse de quitter le restaurant. Christelle me rejoint le sourire aux lèvres.

  • Alors tu as aimé notre repas, me demande-t-elle en rigolant? Avoue que tout ça te fait plaisir et te donne des sensations.

Comme toujours Christelle ne se trompe pas.

Nous marchons dans les rues, et je passe mon temps à essayer de cacher le paquet de couches que je porte. Christelle décide alors d’aller boire un verre dans une brasserie. Nous trouvons une table, et nous installons. La table étant petite il est difficile de cacher mon paquet. Je m’efforce de le dissimuler le mieux possible. Nous commandons un whisky pour moi et un cocktail pour Christelle et continuons à discuter de choses et d’autres. Mais c’est l’heure où beaucoup de personnes viennent boire leur café, et la brasserie se remplie. Tout d’un coup je remarque un groupe de jeunes femmes situé à 2 tables de nous, qui regardent dans notre direction. Certaines rient. Je devine que c’est le paquet de couche qui a attiré leurs regards. Christelle remarque que je fixe du regard quelque chose.

  • Qu’est ce que tu as, me demande-t-elle ?

  • Oh rien, c’est juste des filles qui regardent mon paquet.

  • Ah, fit Christelle, et cela ne te gêne pas ?

  • Oh non. Après tout elles doivent penser que c’est pour ma grand-mère, ou, à la limite, pour toi. Après tout l’incontinence est plus courante chez les femmes.

Ma provocation reçue une réaction immédiate.

  • Ah oui, me dit Christelle, et bien nous allons détromper ces demoiselles. Lève-toi et viens t’asseoir près de moi.

Je m’exécute et me retrouve assis sur la banquette.

  • Tourne-toi et regardes moi !

  • D’accord, répondis-je en me tournant.

Christelle reprend alors la conversation. Au bout de quelques minutes je remarque, dans le miroir mural face à moi, une des filles du groupe pointant un doigt dans ma direction. Je réalise soudain que ma culotte plastique dépasse de mon pantalon. J’avais complètement oublié. Immédiatement je me tourne et colle mon dos contre la banquette pour dissimuler ma culotte.

  • Que t’arrive-t-il, me demanda Christelle.

  • Je crois que les filles ont vu ma culotte qui dépasse.

  • Et alors, qu’est ce que çà peut faire.

Je reste sans répondre

  • Tu ne dis rien ? Remets toi comme tu étais, m’ordonne alors Christelle.

  • C’est hors de question.

  • Bon, alors tourne-toi dans l’autre sens. Et obéi sinon je m’en vais.

Tout en appréhendant le regard des jeunes femmes, je me tournais en me disant qu’au moins ma culotte ne serait plus visible. C’est alors que je senti Christelle tirer sur l’élastique de ma culotte pour écarter celle-ci.

  • Tu as mouillé ta couche, demanda alors Christelle avec une voix suffisamment haute pour les jeunes femmes entendent. Hein, dis-moi, ta couche est mouillée ou pas.

Bien évidemment en entendant ces mots, plusieurs jeunes femmes me fixèrent du regard. Une gêne immense envahit mon visage. Je me sentais rougir.

  • Bon je vois que oui, dit Christelle. Il va falloir changer bébé.

Le mot bébé, déclencha plusieurs rires parmi le groupe de jeunes femmes. J’entendis plusieurs d’entre-elles répéter le mot bébé tout en me regardant.

J’entendis alors un bruit de plastique déchiré. Je tournais la tête et vis Christelle avec le paquet de change complet sur la table. Elle ouvrait le paquet et en retira un change. Puis elle attrapa son sac à main, et en sortie une culotte plastique a pression. Elle la déplia de façon évidente pour être remarquée par les jeunes femmes. Ces dernières ne perdaient pas une miette du spectacle. Christelle se leva, mit son sac à l’épaule et attrapa de l’autre main, le change complet et la culotte.

  • Tu viens bébé, je vais te changer.

Je restais pétrifié sur place.

  • Lèves-toi me dit elle à voix basse, sinon je te promets de te foutre encore plus la honte.

Sans rien dire j’obéissais.

  • Passe devant, me dit Christelle. Les toilettes sont là bas.

Christelle m’indiquait le chemin du doigt, en direction du groupe de jeunes femmes. Pendant que je me dirigeais vers les toilettes et le groupe, je pouvais voir ces jeunes femmes me dévisager, le sourire aux lèvres. Puis en longeant leur table, je devinais qu’elles ne manqueraient pas d’examiner mon derrière rembourré et ma culotte plastique qui dépasse.

  • Alors on va changer bébé, entendis-je dans mon dos.

  • Il faut bien, répondit Christelle. Je ne peux pas laisser ce grand bébé dans sa culotte mouillée.

De mon côté, je continuais en direction des toilettes, pressé d’être arrivé.

  • Eh Christophe revient par ici, dit Christelle.

Je m’arrêtais net. Me retournais lentement, et vis toutes les jeunes femmes me fixer du regard. En prenant mon souffle je retournais sur mes pas.

  • Parcequ’il mouille encore ses couches à son âge, demanda l’une des jeunes femmes à Christelle.

  • Bien évidemment, répondit Christelle, sinon il n’aurait pas besoin de couches.

  • Mais il le fait exprès, demanda une autre ?

  • Oh mais oui, répondit Christelle, Christophe est un grand bébé qui adore faire dans ses couches.

Bien évidemment j’étais rouge de honte.

  • Bon c’est pas tout, mais il faut que je le change, ajouta Christelle en brandissant la couche et la culotte plastique qu’elle tenait dans sa main. Allez, me dit-elle, tourne-toi et avance sale pisseux.

Je me retournais une nouvelle fois et me dépêchai d’atteindre les toilettes, tout en entendant les rires dans mon dos. Je descendis les escaliers et me dirigea vers les toilettes des hommes.

  • Non pas par ici, me dit Christelle. Il y a une nurserie, ce sera plus pratique.

Je suivis Christelle. Elle ouvrit une porte et nous rentrâmes dans la pièce tous les deux. Il y avait une table à langer suffisamment grande pour que je m’y couche a moitié, et une banquette placer dans un coin.

Christelle posa le change complet et la culotte sur la table à langer, puis se dirigea vers la banquette. Alors qu’elle allait s’asseoir, quelqu’un frappa à la porte. Christelle ouvrit celle-ci et je vis 2 des jeunes femmes. Christelle et ces 2 jeunes femmes parlèrent à voix basse. Enfin Christelle les invita à rentrer, ferma la porte à clé et se dirigea vers le fauteuil pour s’y asseoir.

  • Approche-toi, m’ordonna-t-elle.

J’obéissais, tout en lui demandant ce que les 2 jeunes femmes faisaient ici

  • Pose pas question, et amène-toi. Vous aussi, ajouta Christelle en s’adressant aux jeunes femmes. Tiens j’ai même une idée, ajouta-t-elle, vous allez vous asseoir à ma place.

Les 2 jeunes femmes prirent place, alors que Christelle passa dans mon dos, m’attrapa les épaules pour m’obliger à me placer face à ses deux invitées. Puis elle me poussa en avant, et je me retrouvais qu’ont quelques centimètres d’une des jeunes femmes. Christelle qui se trouvait toujours dans mon dos, passa alors ses mains sous mes bras avant de se poser sur ma ceinture. Alors que j’allais protesté, Christelle m’ordonna de me taire.

  • Tais-toi et lève les bras.

Je levais les bras, et senti Christelle qui défaisait ma ceinture doucement avant de s’attaquer aux boutons de ma braguette. La jeune femme regardait, et celle qui était pile face à moi me fixait du regard. Ne pouvant détourner la tête, la jeune femme, et moi-même, nous regardions fixement. Mon cœur battant la chamade, j’essayais de deviner ce qu’elle pouvait bien penser de moi et du spectacle que Christelle leur offrait.

Une fois la ceinture défaite, et ma braguette ouverte, Christelle tira les pans de mon pantalon sur le côté, dévoilant ainsi ma culotte à pression et la couche que je portais en dessous. Puis Christelle fit descendre lentement mon pantalon jusqu’à mes chevilles. Toujours les bras en l’air et dans l’impossibilité de me cacher, ma position renforçait l’impression que j’avais de m’exhiber, ce qui augmentait ma gêne déjà bien présente. Les deux jeunes femmes me regardaient, de haut en bas, sans rien dire.

  • Et voilà, dit Christelle d’un ton moqueur, en me contournant pour se placer à côté des jeunes femmes. Voilà notre bébé avec sa grosse coucouche. Vous voyez les filles ce n’est pas une blague, Christophe porte encore des couches et fait encore pipi à la culotte.

  • J’ai du mal à y croire, dit l’une des jeunes femmes, un homme qui porte encore des couches.

  • Et oui dit Christelle, ça existe. En plus l’avantage d’un grand bébé comme lui, c’est qu’il fait tout ce qu’on lui demande. Il est très obéissant car il sait qu’il pourrait perdre sa nounou.

  • Je peux toucher sa couche, demanda l’une des jeunes femmes.

  • Mais bien sur dis Christelle.

La jeune femme tendit alors la main et passa le bout de ses doigts sur le devant de ma culotte à pression.

  • Que porte-t-il sous sa culotte demanda-t-elle ?

  • Certainement un change complet, répondit Christelle. Mais il suffit de vérifier, défaites les boutons pressions de sa culotte, nous verrons bien.

La jeune femme commença alors à ouvrir ma culotte en tirant sur les boutons du haut. Lentement le devant de ma culotte se courbait vers le bas, dévoilant le voile plastique de mon change Abena.Une fois tous les boutons ouverts, la jeune femme attrapa la culotte, la posa d’une main entre elle et son amie, tout en caressant de sa main le devant de ma couche.

  • Il ne semble pas très mouillé, remarque la jeune femme.

  • Mais c’est vrai, dit Christelle. C’est dommage de gâcher une couche. Fais pipi dans ta couche m’ordonna-t-elle.

Etant, bien évidemment excité, cela m’était impossible. De plus je n’avais nulle envie de mouiller ma couche devant ces jeunes femmes.

  • Allez, dit Christelle, fais pipi, dépêche-toi.
  • Je ne peux pas.

Christelle s’approcha de moi et plaque fortement sa main sur ma couche.

  • Je vois, dit-elle, monsieur est encore excité parcequ’il s’exhibe en couches devant des jeunes femmes. Tu as 30 secondes, après je serais obligée de te punir.

Les 30 secondes passèrent.Christelle se dirigea alors vers le lavabo, rempli le gobelet, qui se trouvait là, d’eau froide, et revint vers moi. Elle tira alors doucement le devant de ma couche et versa doucement le liquide froid sur mon sexe tendu. Je fermai les yeux et sursautais tellement le froid me saisissait. Mais cela ne fut pas suffisant. Christelle alla remplir un second gobelet. Le temps qu’elle revienne je sentais ma couche gonfler entre mes jambes. Christelle versa le second gobelet qui eut raison de mon excitation

  • Oh mais sa couche gonfle, remarqua la jaune femme qui avait défait ma culotte.

  • C‘est normal, dit Christelle, et elle peut gonfler encore plus.

  • Sa couche ne risque pas de déborder, demanda l’autre jeune femme

  • Oh non pas de risque, elle peut contenir plusieurs litres.

Christelle me regarda alors fixement dans les yeux et reprit.

  • Et ça ne contient pas que des litres ! Allez Christophe, fais caca dans ta couche ! Ce sera ta punition. Rempli-moi cette couche pendant que nos deux amies te regardent.

Les deux jeunes femmes furent surprises. De mon côté je me refusais d’obéir.

  • Dépêche-toi, me dit Christelle, sinon je te prends ton pantalon et je m’en vais avec. Tu seras obliger de repartir en couche.

Sachant que Christelle était capable d’exécuter sa menace, je me résignais. J’écartais alors les jambes et commençais à pousser. Les deux jeunes femmes me regardaient dans les yeux. Tenter de remplir ma couche devant ces jeunes femmes était totalement humiliant. Plus question de se sentir un homme face à ces femmes qui pourtant m’inspirait du désir. Je sentais bien dans leur regard que je n’étais plus qu’un jouet de divertissement. Alors que je faisais des efforts, une des jeunes femmes posa sa main sur le devant de ma couche.

  • Oh c’est tout chaud, bébé fait pipi dans sa couche.

Après plusieurs essais, enfin ma couche se remplit, et je pus souffler de soulagement. Je sentais le fond de ma couche pendre entre mes fesses. Christelle me fit alors tourner sur moi-même, afin de me faire présenter mon derrière face aux jeunes femmes.

  • Voilà mesdames, dit Christelle, je vous l’avais dit, un bébé comme ça fait tout ce qu’on lui demande.

L’autre jeune femme tendit alors la main pour soupeser le fond de ma couche. Puis elle se leva et dit qu’elle en avait assez vu, qu’elle voulait raconter ça à ses copines et que ces dernières devaient certainement les attendre. Son ami se leva aussi. Elles s’approchèrent toutes les deux de moi.

  • Allez, on vous laisse. Au revoir bébé

Pendant que l’une se plaça face à moi pour me faire la bise, la deuxième se mit à ma droite. Je sentis alors une main se poser derrière moi, et caresser ma couche. Puis cette caresse se fit tellement plus forte que je senti le contenu de ma couche s’étaler sur mes fesses. J’entendis alors la voix de fille à mon oreille me dire :

  • Bébé est un gros cochon, il a le derrière tout sale. Si j’étais sa nounou, je lui mettrais une bonne fessée.

Sur ce, les jeunes femmes quittèrent la nurserie. Je me retrouvais seul avec Christelle.

  • Eh bien, me dit-elle, voilà une sacrée expérience. Hein bébé qu’en penses-tu. En plus la coquine a fait exprès de te barbouiller les fesses.

  • Mais pourquoi a-t-elle fait ça, demandais-je.

  • Parce que je lui ai dit que je ne voulais pas que tu t’assoies pour éviter de trop te salir car je n’étais pas équipé pour nettoyer les dégâts.

  • Mais comment va-t-on faire ?

  • Ne t’inquiète pas, et allonge toi sur la table.

Je m’allongeais. Christelle pris alors le change complet le déplia et le glissa sous mes fesses.

  • Mais tu ne m’enlèves pas ma couche sale, demandais-je ?

  • C’est hors de question. Et puis c’est ta punition qui continue.

Christelle prit alors une petite paire de ciseaux dans son sac, et fit plusieurs petits trous dans ma couche. Puis elle m’enveloppa avec le change complet qu’elle avait préparé, avant de me m’équiper de la culotte à pression qu’elle avait amenée. Puis elle alla récupérer l’autre culotte restée sur la banquette et me l’enfila, elle aussi. Je me retrouvais ensuite debout, avec une énorme couche autour de mes hanches. Christelle m’enfila mon pantalon qui fût bien difficile à fermer, puis nous quittâmes la nurserie.

Bien évidemment je dû remonter les escaliers, puis passer une nouvelle fois devant la table des jeunes femmes. Nos deux invités étaient en train de raconter le spectacle auquel elle venait d’assister. Je poussais mon chemin jusqu’à notre table, en me doutant bien que les filles remarqueraient mon énorme couche sous mon pantalon. Arrivé à notre table, j’enfilais mon manteau, Christelle me tendit alors le sac de couches, à moitié ouvert, et nous quittâmes la brasserie. Avant de sortir je repassais devant le groupe de jeunes femmes. Plusieurs d’entre elles me dirent « au revoir bébé, et sois sage»…

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